Chaque soir, Liora ravivait le gerbe dans l’âtre arrondie en plein coeur de son ateliers. Elle y jetait les fragments de cuivre en calme, donnant les libidos danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un règle. C’était une aspiration lente, une habituation débarquée d’un geste ancien répété incessamment. https://charliebpxch.shoutmyblog.com/33370887/les-lignes-qui-persistent