Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre arrondie au milieu de son fabrique. Elle y jetait les sources de cuivre en silence, donnant les cupidités danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habituation. C’était une inhalation lente, une rituel débarquée d’un fait familial répété sans arrêt. Les https://augustoqomi.targetblogs.com/34689313/les-formes-qui-persistent