Depuis les premières manifestations de parfums irréversibles, Isadora avait cessé d’accueillir les visiteurs. Elle restait enfermée dans son ateliers, entre les alambics, les huiles denses et les poudres végétales, optant pour les formules de l'ancien temps avec suspicion. Les flacons comportant les permis tristes étaient sérieusement étiquetés et rangés à https://branchu197wyy7.blogtov.com/profile