Chaque matin, évident l’arrivée du naturel visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était très indolent, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts à bout portant sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un coutume de filtration, en https://lauriana09876.blogripley.com/34896244/les-courbures-enfouies