Arthur resta figé sur la scène, le regard particulier sur le violon suspendu qui venait de vibrer dans le vacarme du théâtre. Il n’y avait individu, nul mouvement, zéro brise assez majeure pour céder un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer abandonné, comme s’il répondait à bien une visibilité indécelable. https://samuelf665dti3.59bloggers.com/profile